Voici un extrait gratuit du guide de construction :
A
About de voile : Coffrage que l’on positionne à l’endroit où doit s’arrêter le mur en béton.
Aciers placés parallèlement aux aciers porteurs se positionnant au dessus de ceux-ci. (voir barre ou acier porteur).
L’anse de panier est une approximation d’une demi-ellipse par un nombre impair de cercles. Pour avoir une belle courbe, ces cercles doivent avoir la même tangente au point de raccordement.
Façon dont les moellons, les pierres de taille ou les briques sont assemblés dans la maçonnerie.
L’arase est le niveau supérieur d’un mur de maçonnerie généralement mis de niveau servant de base pour la suite de la construction. Cette mise à niveau peut être réalisée au mortier s’il n’y a pas lieu d’avoir un chaînage horizontal.
Aciers incorporés dans les ouvrages en béton, pour reprendre les efforts de traction, de flexion ou de cisaillement appliqués à ces ouvrages. (Semelles armées, longrines, dallages, chaînages horizontaux et verticaux).
Remontées des tuyaux sur la dalle en prévision des branchements ultérieurs.
Les aciers actifs se trouvent à l’intérieur d’une gaine et ne sont pas au contact du béton.
Phénomène dû à l’action provoquée par le serrage du béton qui comprime, enrobe les aciers.
Éléments en ciment pour la confection des murs, ils peuvent être creux ou pleins leurs dimensions sont standardisées.
Distance minimale obligatoire lors d’un scellement d’une barre dans du béton.
Pièce préfabriquée ou coulée en place destinée à supporter la traverse basse du dormant de la fenêtre.
Arc dont la flèche est inférieure a la moitie de l’ouverture.
Les aciers passifs sont adhérents au béton
L’acrotère est un muret situé en bordure de toitures terrasses pour permettre d’appliquer le relevé d’étanchéité.
Bloc aimanté (magnétique) que l’on positionne dans les mannequins afin que celui-ci ne se déplace lors du coulage sous la pression du béton frais.
Personne qui dessine les plans de la construction.
L’assainissement est une démarche visant à améliorer la situation sanitaire globale de l’environnement dans ses différentes composantes. Il comprend la collecte, le traitement et l’évacuation des déchets liquides, des déchets solides et des excréments. Il peut être collectif (station d’épuration ou autonome (individuelle).
Exemple : fosse septique
Tampon de regard muni d’une grille pour l’écoulement des eaux.
Acier haute adhérence (acier à relief).
Produit chimique que l’on incorpore en faible proportion dans les bétons et mortiers, afin de modifier, d’améliorer ou de compléter certaines de leurs caractéristiques. Plastifiant, accélérateur de prise, retardateur de prise etc.
L’allège désigne la partie du mur située entre le plancher et l’appui de fenêtre.
La mise à l’aplomb est l’opération qui consiste à positionner une pièce à la verticale. On utilisera pour cette tâche le fil à plomb.
Élément horizontal creux muni d’une grille faisant ainsi une barrière en recevant les eaux d’écoulement.
Sol sédimentaire, compact et imperméable ; mouillée, l’argile devient plastique, malléable et plus ou moins thixotropique. Ses caractéristiques sont variables selon sa finesse, sa composition (à base de silico-aluminates), ses impuretés (mica, quartz, granits,...) ; synonyme : glaise. Sol sensible à l’eau pouvant être sujet à des retraits et gonflements.
Aciers de liaison entre les différents ouvrages de béton coulés à des dates différentes.
Extrémité d’une pièce de bois.
Versant du toit appuyé à un bâtiment plus grand.
1. Pièce de bois allant de l’entrait au poinçon supportant les pannes en angle saillant (inverse de la noue).
2. ligne saillante formée par l’intersection latérale de deux versants d’une toiture. (couverture)
Petite toiture placée au dessus d’une ouverture.
Pièce assurant l’étanchéité entre la couverture et une pénétration(souche, solin, lucarne).
B
Tôle galvanisée nervurée (à ondulations en U faiblement creux) servant à la toiture.
Une barbacane est un élément (anciennement trou, fente) pratiqué dans un mur de soutènement pour faciliter l’écoulement des eaux d’infiltration provenant de la masse de terre soutenue. Cette accumulation d’eau accentue la poussée des terres. (autre nom "chantepleure")
Barre magnétique qui permet une finition d’une l’arase propre et rectiligne.
Benne servant au transport du béton au moyen d’une grue ; du camion au lieu de coulage.
Elle est équipée d’une CHAUSSETTE (tube en caoutchouc) descendant dans le coffrage réduisant ainsi la hauteur de chute du béton.
Couche de béton grossier étalée sur le sol naturel ou sur un fond de fouilles pour constituer une surface non terreuse, sur laquelle on pourra positionner les aciers et couler un béton.
Éléments en ciment pour la confection des murs, ils peuvent être creux ou pleins leurs dimensions sont standardisées.
Boîte préfabriquée d’aciers en U pliés, posée lors du ferraillage, elle permet la reprise de bétonnage après avoir dépliés les aciers après décoffrage.
Élément en terre cuite pour la maçonnerie traditionnelle des murs.
Excès de petits trous laissés en surface par les bulles d’air qui n’ont pu s’échapper lors de la vibration.
Ouverture de fenêtre ou de porte dans un mur.
Parement et protection de façade d’une construction constitué de planches bois ou PVC, tôles galvanisées peintes, pierres pelliculaires..
Matériau composé de sable, gravier, ciment et eau.
La précontrainte a pour but de soumettre le béton à des contraintes préalables de compression telles, qu’une fois en service, elles s’opposent aux contraintes de traction créées par les charges et maintiennent le béton en état de compression.
Éléments en ciment pour la confection des murs, ils peuvent être creux ou pleins leurs dimensions sont standardisées.
Le bon sol est le sol capable de supporter les charges que le poids de la construction lui transmet.
Béton préparé dans une centrale à béton, livré sur chantier malaxé et prêt à couler, par des camions dits camions-toupies.
Élément en terre cuite d’une épaisseur telle que l’isolation n’est pas utile. Réalisation des murs.
Planche ou latte positionnée à l’arrière d’une joue ou d’un panneau évitant à celui-ci de se déplacer sous la poussée du béton fig 4.
Plateforme en béton armé, en encorbellement, son ferraillage particulier lui permet donc d’être accessible.
Barre ayant pour rôle, la fixation d’autres élément d’armature.
Aciers principaux ayant pour rôle le maintien et le renforcement dans les parties fragiles du béton.
Bois de coffrage de section 6,5X16 environ.
Association du béton et d’une armature (ferraillage).
Éléments en ciment permettant de remplacer le coffrage. Le béton sera donc coulé à l’intérieur de ces blocs.
Élément vertical ou incliné bordant la chaussée, l’accotement, un parking ou jardin.
Poutre diagonale assurant la stabilité de la passerelle de travail d’une banche.
Planche ou latte positionnée à 45° contre le coffrage maintenant celui-ci à l’aplomb fig 3.
Panneau de coffrage pré monté entièrement, nécessitant un moyen de levage (grue).
Petite fondation réalisée manuellement en périphérie d’une terrasse pour donner une profondeur hors gel à l’ouvrage.
Élément en béton cellulaire d’une épaisseur telle que l’isolation n’est pas utile. Réalisation des murs.
Renforcement d’une fouille pour éviter tout risque d’éboulement.
Élément en béton ou terre cuite formant le conduit de fumée
Pierre ou autre qui marque et sert à séparer un terrain d’avec un autre.
Pièce de bois qui joint la jambe de force à la cime du mur ou du poteau et assemble le pied d’arbalétrier.
Élément de bois ou bitume recouvrant les toitures.
Versant inférieur des toits.
C
Élément d’armature carrée ou rectangulaire maintenant les barres longitudinale, donnant la forme à l’élément de la pièce en BA.
Toutes les gaines enterrées prévues pour passer câbles électriques, téléphoniques et les PE (tuyau) d’eau et gaz.
Usine où l’on fabrique le béton pour l’acheminer sur les chantiers, en camion toupie.
Ouvrage vertical en béton armé allant des fondations jusqu’aux arases supérieures. Il sera présent à chaque angle de la construction.
Boîte de branchement le plus souvent en béton, placé, en général, sur le trottoir, la chambre de tirage permet de tirer et de raccorder les lignes électriques ou téléphoniques souterraines.
Bois posé sur sa plus petite épaisseur
Tube en caoutchouc (équipement d’une benne).
Bois de coffrage de section 6X8 environ.
Partie découpée en bais dans un coffrage pour faciliter le décoffrage.
Petites cales de bois coupées en biseau servant à caler ou au blocage d’un coffrage.
Entretoise qui laisse passer la tige filetée de serrage pour la protéger du béton.
Ouvrage reposant sur le mur soutenant un porte à faux.
Désigne la face verticale située entre deux marches.
Superposition trop rapprochée de deux joints verticaux.
Tuyaux en PVC ou ciment servant à transporter les eaux usagées de la maison au tout à l’égout.
Sorte de cadre de forme arrondie.
Ouvrage horizontal en béton armé se trouvant en périphérie des dalles et planchers.
Le chaînage horizontal peut se trouver dans un plein mur lorsque celui-ci est > à 3 mètres, ne comportant pas de plancher.
C’est une couche de mortier à base de ciment ou de chaux appliquée au sol, destinée à aplanir, niveler ou surfacer un support et/ou enrober des éléments (un plancher chauffant par exemple) pour ensuite recevoir les couches supérieures, par exemple du carrelage, un parement de briques, un sol souple ou un parquet, flottant ou collé.
Comme le ciment la chaux est un liant en poudre et de couleur blanche, obtenue par décomposition thermique du calcaire. Elle est utilisée depuis l’Antiquité, notamment dans la construction.
Le ciment est un liant en poudre fabriqué à base de calcaire à 80% et d’argile, formant avec l’eau une pâte capable d’agglomérer les granulats, en durcissant.
Phénomène de rupture sous l’effet d’une charge.
Une pierre qui permet de faire tenir une voûte.
La plus faible largeur d’une marche dans l’escalier balancé.
Appareil servant à mesurer la consistance du béton frais.
Ficelle que l’on tend entre les chaises pour délimiter la construction ou servant à aligner les blocs en maçonnerie.
Élément de construction lié perpendiculairement à un élément qui risque le basculement sous l’effet du vent ou autre.
Insérée dans la partie supérieure d’un mur de soubassement pour faire obstacle aux remontées d’eau du sol par capillarité.
Crochets métalliques incorporée à une pièce préfabriquée en béton armé, permettant de lever cette charge par un engin de levage.
Cale en béton ou plastique, fixée à l’armature, maintenant celle-ci à la distance voulue par rapport au coffrage. (voir enrobage)
Un caniveau marque la limite entre la chaussée et le trottoir, il fait parti du dispositif d’écoulement des eaux.
Les chaînages en béton armé peuvent être verticaux, horizontaux ou en rampant. Ils sont tous reliés entre eux ceinturant ainsi toute la construction.
Partie encoignure de murs faite d’un appareil en brique ou pierre taillée (chaînage).
Armature métallique positionnée en partie supérieure d’un ouvrage en béton armé.
Chaperon, couvertine ou tablette sont des éléments décoratifs, recouvrant l’arase d’un mur afin de l’embellir et de le protéger de l’eau de pluie.
Un chapeau ou mitron protège le conduit des intempéries et favorise l’évacuation des fumées.
Arc qui affecte la forme régulière d’une demi- circonférence.
Toutes pierres taillées en forme de coin, servant à construire une un arc ou une voûte.
Le coffrage est un moule démontable en bois ou métal recevant le béton frais. Une fois le béton durcit, le décoffrage intervient (démontage).
Le béton résiste très bien à la pression des charges exercées sur lui.
Ouvrage reposant sur le mur soutenant un porte à faux.
Une COUR ANGLAISE est un espace aménagé à l’extérieur au niveau du terrain fini servant à éclairer une fenêtre du sous sol.
Forme donnée en pied de mur ou en fond de regard, lissée et arrondie souvent en pente, permettant l’écoulement rapide des eaux. Elle peut également se placer sous un drain facilitant ainsi l’évacuation des eaux d’infiltration.
Calcul des blocs pour une élévation d’un mur, c’est la disposition d’éléments de formes définies pour former un motif, composer un assemblage, couvrir une surface ou remplir un volume.
Ouvrage en béton armé suivant les pentes du pignon. Ils sont reliés avec les chaînages verticaux et horizontaux. Son épaisseur doit être d’au moins 7cm.
Piquets et planches en bois établis à l’extérieur d’un bâtiment à construire et sur lesquels on tend des cordeaux qui matérialisent les axes ou les nus des murs à implanter.
Moulure biaisée effectuée dans les angles d’un ouvrage en BA supprimant ainsi les arêtes vives.
Poutre noyée dans l’épaisseur totale de la dalle reposant sur les poutrelles adjacentes et recevant les poutrelles se retrouvant dans le vide lors d’une ouverture dans le plancher (trémie).
Coffrage de la liaison entre poteaux et/ou poutres préfabriqués permettant de couler le béton de liaison des éléments en question.
Coffrage en bord de dalle permettant de positionner les garde-corps.
Le conduit est un tube idéalement vertical permettant l’évacuation des produits de combustion (fumées) émis par une chaudière ou une cheminée.
CONSOLE PIGNON PTE = PLATEFORME DE TRAVAIL EN ENCORBELLEMENT.
Elles permettent la pose du coffrage à l’extérieur des façades.
Partie dont le diamètre est plus large que le tuyau ce qui permet leur emboîtement.
Les métiers du bâtiment regroupent les corps de métiers de l’artisanat intervenant dans la construction, la rénovation, la réhabilitation et la maintenance, de bâtiments privés ou publics.
Chaperon, couvertine ou tablette sont des éléments décoratifs, recouvrant l’arase d’un mur afin de l’embellir et de le protéger de l’eau de pluie.
Nettoyage des éléments instables et indésirables dans le fond de fouille ou en terrassement.
2- lucarne / 3- jouée / 4- noulet
Désigne l’emplacement du cadre sur la charpente dans lequel viendra se poser une fenêtre.
Lucarne dont la pente est à l’inverse de celle du comble.
Pièce de bois qui supporte l’arbalétrier par assemblage dans le poinçon.
Espace délimité par la charpente.
Chevron qui a pour but de redresser le bas du pan pour lui donner du mouvement.
Extrémité triangulaire d’un comble délimitée par deux arêtiers et un égout.
1- arêtier / 2- faîtière / 3-croupe / 4- noue
7- lucarne (chien assis) / 8- fenêtre de toit (chassis)
Latte de bois biseautée destinée à rattraper l’épaisseur d’une tuile manquante au premier rang en rive d’égout.
Tuile destinée à la ventilation de la couverture.
Conduit situé en partie basse de la ligne d’égout, il est destiné à canaliser les eaux de pluie.
D
Le dallage se compose d’une dalle béton reposant sur une forme.
Anomalie de fonctionnement, d’aspect, de solidité…, d’un ouvrage.
Un document technique unifié (DTU) est un document applicable aux marchés de travaux du bâtiment.
Dalle constituée entièrement de béton armé. Elle peut être réalisée sur un coffrage ou coulée sur une prédalle.
Action d’enlever lors des travaux de terrassement la couche supérieure dite terre végétale. Cette épaisseur est très variable mais souvent prise à 25 cm.
C’est une pièce écrite réalisée par le Maître d’oeuvre qui reprend tous les éléments constructifs un à un à la construction. C’est le document complémentaire aux plans.
Couche de béton d’une épaisseur de 4 à 5 cm coulée sur les poutrelles et hourdis hourdis.
Nappe à excroissances posée contre les murs enterrés pour leur protection contre l’humidité.
Terres, décombres qu’on retire d’un endroit où l’on creuse.
C’est les différences d’altitudes entre deux ou plusieurs points. La droite qui reliera deux points d’altitude différentes s’appelle une pente. Elle s’exprimera en %.
Tuyau perforé recueillant et dirigeant les eaux d’infiltration.
C’est un ensemble d’éléments drainants qui a pour mission de collecter les infiltrations et de diriger l’eau dans le sous-sol avant qu’elles ne risquent de porter atteinte à la stabilité de la construction. Le drain est un tuyau strié et perforé qui se pose au droit des semelles de fondation. Il est entouré de divers cailloux et est entouré par une membrane géotextile empêchant la terre d’entrer dans le drain et de le boucher.
Solin donnant une pente à des tuiles le long d’un mur délimitant la couverture.
Double rang de tuiles posées sur la chanlatte.
E
Il concerne la distance entre les aciers et les parois coffrantes, mais également la distance entre les barres.
Les eaux pluviales, abréviation EP, sont les eaux de ruissellement d’eau de pluie.
Élément maintenant les aciers à la bonne position en respectant leur écartement. L’image ci-contre est appelé communément ZIG ZAG.
Largeur utile de l’escalier, mesurée entre murs.
C’est l’opération qui consiste à tracer un triangle rectangle ayant comme côtés 3 et 4 mètres pour obtenir une hypoténuse (diagonale) de 5,00 mètres.
L’étaiement est l’élément de soutien provisoire maintenant les coffrages à la hauteur voulue, avant le décoffrage. Il est constitué : d’étais ou de tour étai ou de tour échelle, où reposent des poutrelles bois ou en aluminium.
1) Terrassement en excavation :
Largeur > à 2 m profondeur < largeur /2
2) Talus : Pente de talus 1/1 minimum
3) Tranchée :
Largeur < à 2 m ht > 1,00 m ou larg > à 2 m ht > larg/2
4) Rigole ou fouille :
Largeur < à 2 m ht < à 1,00
5) Puits :
Profondeur > à 1,20 m < à 8,00 m
6) Massif :
Profondeur < à 1,20 m
Les eaux usées, en abrégé EU, comprennent toutes les eaux sanitaires du bâtiment, provenant de l’évacuation des appareils sanitaires tels que lavabos, douches, évier syphons de sol, aquadrain etc.
Un échafaudage est une construction temporaire constituée de passerelles ou de plate-formes soutenues par une charpente en acier ou en aluminium. Il est destiné à permettre l’accès des artisans, du matériel en tous points d’un bâtiment à édifier ou à réparer.
Partie d’une construction en saillie du plan vertical d’un mur, soutenue en porte-à-faux par un corbeau ou par une console.
Equipement de protection individuelle : casque, chaussure, gants, vêtements de travail etc.
Acier en forme d’équerre servant de liaison dans les angles de mur ou de dalle en béton armé. OU outil permettant de tracer un angle droit voir outils.
Le béton résiste très mal aux efforts d’extension exercés sur lui.
Eaux contenant des matières fécales, provenant des WC et des urinoirs.
Hauteur libre de passage mesurée à l’aplomb des marches.
Cale en bois de la dimension de l’épaisseur de l’élément en béton. Grâce à son positionnement et sa longueur, elle permet de conserver la bonne dimension du coffrage lors du serrage fig 6.
Acier recourbé de chaque côté servant à maintenir écartés, deux barres ou deux nappes de treillis soudé.
Acier recourbé de chaque côté mais doublé servant à maintenir et à renforcer une poutre et/ ou un poteau en béton armé.
La surface convexe extérieure d’une voûte qui est régulière.
L’ÉBRASEMENT ou ébrasure est la partie de biais dans l’épaisseur d’un mur d’une ouverture
Éléments de remplissage entre les poutrelles, ils servent de coffrage.
Épaisseur de mortier appliqué en une ou plusieurs couches sur les murs extérieurs ou intérieurs. Le rôle de l’enduit sur la maçonnerie est de la protéger des intempéries, lui rendre une surface plane et de l’embellir.
L’étai est une grosse pièce de bois ou de métal (tubes coulissant) destinée à soutenir provisoirement
Examen et analyse des caractéristiques du sol (contraintes admissibles, hydrologie, élasticité,...) permettant le dimensionnement et les conditions d’exécution des fondations en fonction de l’ouvrage à construire.
Cale qui assemble la panne à l’arbalétrier.
Ligne basse d’un pan de couverture où les eaux de pluie s’écoulent dans la gouttière ou le chéneau.
Pièce de bois horizontale basse d’une ferme.
Pièce raidissant les solives ou les pannes.
Mode de jonction des tuiles dans lequel les reliefs de l’élément recouvert s’engagent dans les dépressions de l’élément recouvrant.
Bande de Zinc encastrée dans une paroi verticale pour réaliser l’étanchéité d’une pénétration.
F
Craquelures superficielles affectant généralement les enduits sous la forme d’un réseau de micro-fissures.
LA FEUILLURE est une entaille, une rainure dans laquelle les fenêtres et les portes viennent s’encastrer.
Niveau de l’eau d’écoulement dans un regard ou dans l’égout.
Travaux que l’on exécutent après la réalisation des ouvrages bruts consistant à embellir et/ou rendre leur surface prète à peindre ou à recouvrir.
Ensemble des fissures qui affectent la cohésion et-ou l’aspect d’une paroi, d’un revêtement ou d’un enduit.
Désigne de façon générale toute fente visible affectant la surface ou le corps d’une maçonnerie, d’un élément de structure, d’un enduit, d’un dallage.
Phénomène de déformation latérale sous l’effet d’une charge.
La fondation assure la transmission et la répartition des charges de la construction ouvrage dans le sol.
Coffrage de la face inférieure d’une poutre fig 1.
Elle est constituée d’une épaisseur d’au moins 20cm de matériaux sain compactés qui recevra la dalle de béton. C’est dans cette forme que seront placées, les canalisations.
Réservoir matière plastique ou béton recueillant et décomposant les déjections venant de toilettes sans raccord à l’égout.
Terrassement étroit peu profond, creusé en longueur pour la réalisation de pose de canalisations ou pour des semelles de fondations.
Élément en forme de fourche (U) se positionnant au dessus de l’étaiement et recevant les poutrelles ou bois afin que ceux-ci ne se renversent.
Emplacement qui consiste à contenir le feu et évacuer la fumée par l’action du tirage.
Acier servant de cadre, en forme de spirale, d’une seule longueur de bas en haut entourant un poteau de forme arrondie.
Biais crée sur un coffrage pour décoffrer en monobloc.
Inclinaison de la face du mur, de l’élément horizontal, par rapport à la verticale mettant la base en avant du sommet. Méthode souvent utilisée pour les murs de soutènement.
Ligne la plus haute d’un toit qui est formée par la rencontre des deux versants.
C’est un ensemble porteur d’une charpente qui est transversalement au bâtiment.
Ferme légère formant directement chevron.
G
Les gaines sont des fourreaux souples enterrés dans lesquels sont protégés des câbles.
L’ensemble de la protection collective qui protège contre les chutes de hauteur.
Corniche en tuiles dites canal destinée à protéger la façade des eaux de pluie . Les génoises sont réalisées à l’aide de deux, trois ou quatre rangées de tuiles canal maçonnées en débordement par rapport au pan de la toiture.
Nappe de textile en fibres synthétiques tissées ou non tissées perméables, utilisée pour séparer des matériaux de granulométries différentes en vue d’éviter l’obturation des vides du drainage par les fines, sans s’opposer au passage de l’eau indésirable vers le drainage.
Distance horizontale mesurée entre les nez de deux marches consécutives.
Le glacis en pente est imperméable grâce à son lissage parfait, cela permet d’évacuer l’eau de ruissellement rapidement vers l’extérieur.
La gorge est la partie arrondie et lissée se trouvant devant le regingot. elle empêche l’eau de remonter sous le dormant de la fenêtre.
C’est une moulure (souvent une baguette en quart de rond) creuse d’une pièce en encorbellement qui empêche l’eau de ruissellement de couler sur la façade.
Sables et graviers provenant des carrières par broyage.
Sables et graviers provenant des rivières (alluvionnaires)
Sables et graviers en argile expansé.
la granulométrie est l’ensemble des opérations permettant de déterminer la distribution des tailles des éléments composant les granulats des mortiers et bétons.
Les gravats sont les débris résultant de la démolition ou de la construction.
Le gravier, est un matériau granulaire constitué de petites particules provenant de la désagrégation d’autres roches de diamètre 5 à 25 mm.
Film plastique que l’on positionne dans les fouilles, au dessus des diverses canalisations afin de prévenir, lors de travaux souterrains ultérieurs, la présence de ce réseau.
Le gros œuvre est l’ensemble des ouvrages constituant l’ossature de la construction Des fondations à la toiture. Il se complète du second œuvre qui est constitué de tous les autres ouvrages qui s’appuient sur lui : isolation, cloisons, revêtements, cheminées, plomberie, électricité, chauffage, agencements, équipement, etc.
Tuile incurvée en longueur sur un des deux bord. gauche à gauche ou gauche à droite.
H
Appareillage dans un mur fini des "pierres en attente", posées en saillie et en creux, pour raccord de construction ultérieure.
Distance comprise du point zéro jusqu’au dessous de la poutre.
Qualifie un bâtiment à vitres et portes présentes.
Éléments de remplissage entre les poutrelles, ils servent de coffrage.
Distance verticale qui sépare le dessus d’une marche du dessus de la marche suivante.
Distance comprise du point zéro jusqu’au dessous du plancher.
Qualifie un bâtiment à toiture et éléments d’étanchéité présents, équipement intérieur possible.
Huile spéciale appliquée sur les peaux de coffrage afin que la laitance du béton n’adhère pas sur celles-ci elle facilite le décoffrage.
Niveau (hauteur) de bétonnage d’un élément en béton armé.
Outil à moteur thermique : c’est une taloche et une lisseuse mécanique, pour réaliser le lissage de chape ou de dalle de béton.
Une fondation doit être assise à une profondeur hors d’atteinte du gel qui peut, par son gonflement créer des désordres dans la construction.
Huisserie posée avant coulage qui restera scellée dans le béton.
Hauteur totale de la poutre, épaisseur du plancher comprise
Forme en matériaux sains (lit de pierres) compacté supportant la partie bétonnée du dallage.
Coffre de cheminée généralement évasé situé au-dessus du foyer, permettant d’évacuer la fumée par un conduit.
I
L’implantation sert à matérialiser sur le terrain l’emplacement de la construction. Murs de façades, murs de refend, poteaux.
Partie de la construction porteuse enterrée.
J
Fiche plantée dans la terre ou dans les bornes destinée à réaliser un alignement.
Concerne le volume de la partie latérale du mur de l’ouverture.
Un joint de dilatation est un joint destiné à absorber les variations de dimensions des matériaux d’une structure sous l’effet des variations de température.
Épaisseur de colle de 2 à 3 mm maxi pour la pose des blocs rectifiés comme le béton cellulaire ou le monomur.
Un lit de mortier est une couche d’environ 1,5 cm à 2cm nécessaire à la maçonnerie de blocs non rectifiés.
Joint concernant le 1/3 supérieur de dalle, il sert à diriger la fissuration à l’emplacement de ce joint.
Panneaux latéraux d’un coffrage fig 2.
Petit mur élevé par rapport au rampants de la lucarne (c’est coté d’une lucarne).
L
Longueur minimale d’un élément préfabriqué reposant sur le support.
Ces laines sont des matériaux isolant de consistance laineuse obtenu par fusion à partir de roche, de verre ou de laitier (norme PR EN ISO 9229).
Bois de coffrage de section 4 X 27 mm.
C’est une moulure (souvent une baguette en quart de rond) creuse d’une pièce en encorbellement qui empêche l’eau de ruissellement de couler sur la façade.
Contrepoids en métal ou en béton placé à l’arrière des banches.
Désigne chacun des deux bords d’une fissure, d’une crevasse, d’une lézarde.
Poudres à réhydrater minérales : plâtre, chaux hydraulique, pouzzolane naturelle, ciment prompt, portland (ciment artificiel) ou pâtes hydrocarbone : bitume, résine polymères.
Attache permettant d’assembler deux barres de fer à béton ou une barre à des cadres (armature). Elle est réalisée à l’aide d’une pince à ferraillée (paire de tenaille) et du fil de fer recuit.
Ligne fictive figurant la trajectoire théorique suivie par une personne empruntant l’escalier.
Bord de l’escalier quand il n’y a pas de mur d’échiffre.
Élément le plus souvent en béton armé qui sert à soutenir la maçonnerie au dessus d’une baie (ouverture) porte ou fenêtre.
Éléments horizontaux du garde corps, il peut être constitué de tubes métalliques ou de planches suffisamment résistantes.
Grande truelle allongée que l’on passe après talochage pour écraser le grain ou pour lisser du ciment pur sur une dalle ou chape afin de rendre sa surface la plus lisse possible.
Ensemble des barres positionnées sur un même niveau.
Un lit de mortier est une couche d’environ 1,5 cm à 2cm nécessaire à la maçonnerie de blocs non rectifiés.
Poutre de fondation servant à reprendre les charges au dessus d’un vide pour les transmettre sur les puits ou pieu.
Fenêtre aménagé dans un comble habitable.
Chapeau de ventilation qui fini une prise d’air.
Baguette de bois clouée sur les chevrons qui reçoit les ergots des tuiles.
M
La Maçonnerie Roulée est un concept développé par Wienerberger qui permet l’application d’un mortier pour joints minces sur une épaisseur régulière de 2 à 3 mm à l’aide d’un rouleau.
Personne chargée par le maître de l’ouvrage de diriger l’exécution des plans et des travaux bâtiment à construire ou à rénover
Propriétaire ou son représentant de la construction à réaliser ou à rénover.
Coffrage d’une réservation d’une ouverture que l’on décoffre après séchage.
Petit panneau pré assemblé (peau et raidisseurs) ne nécessitant pas de moyen de levage.
L’ensemble formé par la marche et la contremarche notamment dans les escaliers en béton.
Trapézoïdale. Dans les escaliers balancés, ce type de marche permet le changement de direction.
Élément en béton armé de volume plus ou moins important constituant une fondation.
Ils reposent sur des pieux (massif tête de pieu) ou puits et soutiennent des longrines.
Ils sont donc ferraillés.
Petite partie d’un mur, séparant deux ouvertures ou baies < 60 cm.
Pieu foré de faible diamètre (inférieur à 250 mm), en général armé d’une barre ou d’un tube métallique et scellé au terrain par du béton ou mortier de remplissage. Pour certains types de micropieux, des injections de coulis de ciment destinées à améliorer encore les liaisons au terrain sont réalisées.
Pierre pour la construction.
Matériaux composé de sable de ciment et d’eau. Il est utilisé pour la maçonnerie de blocs, les chapes et enduits.
Paroi de maçonnerie, porteuse, construite en élévation au-dessus des fondations soutenant la toiture. Ne pas confondre avec les cloisons.
Chacune des faces extérieures d’un bâtiment présentant une importante étendue, une importance fonctionnelle ou décorative particulière
Un mur de REFEND est un mur porteur intérieur. Il forme le contreventement de la structure et supporte bien souvent la charpente afin de réduire la longueur de portée de celle-ci.
Partie enterrée des murs de la construction, reposant sur les fondations.
Mur sur lequel l’escalier prend appui.
Le mur de SOUTÈNEMENT permet de contenir et maintenir les terres qui s’appuient contre.
Pièces de bois jumelées parallèles entre elles et assemblant d’autres pièces comme un entrait et une jambe de force.
N
Deux lits perpendiculaires forment une nappe.
Coffrage intérieur situé dans un coffrage extérieur pour laisser un vide dans le béton au décoffrage
Bord avant de la marche, en saillie par rapport à la contremarche inférieure.
Le nez de l’appui est la partie en saillie de l’appui de fenêtre.
Espace entre plancher et plafond dans un bâtiment, décompté par 1 depuis 0 au rez-de-chaussée selon sa hauteur d’altitude. Ex R + 2 = RDC plus 2 niveaux (étages).
C’est l’ensemble des opérations qui permettent de déterminer des altitudes et des dénivelés.
Niveau général de la France pris à partir du point zéro à Marseille. Il constitue un réseau de repères altimétriques disséminés sur le territoire français métropolitain continental, ainsi qu’en Corse, dont l’IGN a aujourd’hui la charge. Ce réseau est actuellement le réseau de nivellement officiel en France métropolitaine.
L’accès aux fiches signalétiques de chaque point peut se faire depuis début 2007 via le géoportail.
C’est une pièce de bois placée à l’intersection de deux versants formant un angle rentrant (inverse de l’arêtier).
Petite noue au droit des lucarnes.
O
Ensemble de pierres ou blocs assemblées de façon précise pour confectionner une surface d’un mur ou d’un sol.
Les oreilles de l’appui empêchent l’eau de couler sur le côté de l’appui et permettent ainsi de protéger la façade.
Ensemble des éléments porteurs rigidifiant l’édifice.
P
Le polystyrène (PS) est un polymère dont le monomère (élément moléculaire répété) est le styrène, formé d’un cycle de benzène accroché sur une chaîne CH-CH2).
Matériau isolant que l’on obtient à partir de produits issus du pétrole mélangé à un gaz pour créer un matériau très léger. Solide et dur, le polystyrène sert d’isolant thermique ou acoustique. On peut produire deux types de polystyrène :
- le polystyrène expansé ;
- le polystyrène extrudé.
L’épaisseur de béton comprise entre l’angle rentrant de la marche et la sous face de l’escalier.
Plate-forme en béton, en située en extrémité d’une volée. Palier d’arrivée ou intermédiaire.
En fondation, ferraillage de massif formés de cadres, d’étriers ou d’épingles, positionnés perpendiculairement.
Face coffrante formée d’une peau et de raidisseurs (1).
Qualifie la conception architecturale spécialement adaptée aux risques d’ébranlements par séismes (secousses telluriques dites tremblements de terre).
Face visible d’un mur, d’une couverture, d’un élément constitutif de construction.
Désordres affectant un ouvrage.
Les pavés sont utilisés dans le domaine de la construction pour le revêtement des sols ou de chaussées par pavage.
Partie du coffrage en contact avec le béton (contreplaqué métal) (2).
C’est le document officiel qui autorise la construction ou la rénovation d’un bâtiment à usage d’habitation, industriel ou autre. Sans lui aucune construction ne peut se réaliser.
On lui adjoindra la déclaration préalable généralement exigée pour la réalisation d’aménagement de faible importance.
Le PERRON est un petit escalier placé devant une entrée principale d’une construction.
Un pied-droit (ou piédroit), appelé aussi montant ou jambage, peut désigner : la partie latérale d’une baie, d’une porte, d’une fenêtre.
Fondation profonde > à 8 mètres creusée mécaniquement à l’aide de tarière spéciale et coulée avec un béton fluide.
Le mur pignon donne la forme au toit et soutient les pannes et le faîtage de la charpente.
Poteau maçonné et non-circulaire transférant verticalement les charges reçues vers les fondations.
Le pisé est un système constructif en terre crue, comme la bauge ou le torchis. On le met en œuvre dans des coffrages, traditionnellement appelés banches.
Maison construite sur un seul et même niveau (Origine niveau de la plaine).
Les plans sont des pièces graphiques nécessaires à la construction du bâtiment. Ils sont dessinés par l’architecte et transformés par le bureau d’étude afin que les entreprises du gros oeuvre puissent réaliser l’ouvrage comme il a été dessiné.
Planche brute de 27 mm allant de 10 à 30 cm de large servant au coffrage.
Couche de béton d’une épaisseur constante au moins 12 cm reposant sur une forme (dallage) ou sur un coffrage (dalle pleine) ou sur poutrelles hourdis (semi préfabriqué).
Élément d’une mince épaisseur se positionnant en extérieur du mur au niveau des dalles permettant ainsi de réaliser un arrêt de béton et de réduire le pont thermique.
Pièce métallique composée d’une plaque pré percée, fixée à des ancrages scellés dans le béton. Ces barres d’ancrage sont terminés par un filetage en partie extérieure, recevant des écrous. Cette platine recevra les poteaux métalliques fixés par boulonnage. C’est pourquoi son positionnement doit être précis, tant en alignement dans les deux sens, qu’en altimétrie.
Planche de 15cm posée au niveau du plancher d’un garde corps.
C’est la référence altimétrique d’une construction. C’est en principe le niveau du sol fini du RDC.
Film plastique servant à isoler le sol des remontées capillaires.
Camion muni d’une flèche et d’une pompe poussant le béton dans des tuyaux pour l’acheminer sur le poste de travail lorsque le chantier n’est pas accessible ou qu’il n’est pas équipé d’un moyen de levage.
Un pont thermique est une zone ponctuelle ou linéaire qui, dans l’enveloppe d’un bâtiment, présente une variation de résistance thermique (à la jonction de deux parois en général). Un pont thermique est donc créé si :
- il y a changement de la géométrie de l’enveloppe
- il y a changement de matériaux et ou de résistance thermique
Ils constituent des zones de forte déperdition thermique et l’humidité peut s’y condenser.
Une partie de l’ouvrage est dite en porte-à-faux lorsqu’un élément est soutenu par une partie qui est elle-même au-dessus du vide, c’est-à-dire sans support immédiat en dessous de l’élément en « porte-à-faux. Élément saillant d’un mur, permettant de soutenir une poutre, une voûte, un arc.
Éléments verticaux du garde corps, ils soutiennent les lisses et les plinthes.
Élément en béton armé principalement vertical, sur lesquels se concentre les charges de la construction par l’intermédiaire des poutres.
Distance de la poutre prise entre les deux éléments qui la soutiennent.
Pièce horizontale servant à reprendre les charges au dessus d’un vide pour les transmettre sur les éléments sur lesquels elle s’appuie.
Petites poutres en T renversé en béton armé ou précontraint servant d’ossature au plancher.
Pièces reposant sur l’étai ou sur la tour, recevant le coffrage de plancher ou des poutres.
La précontrainte a pour but de soumettre le béton à des contraintes préalables de compression telles, qu’une fois en service, elles s’opposent aux contraintes de traction créées par les charges et maintiennent le béton en état de compression.
Dalle mince de béton comportant les aciers principaux de la dalle recevant le complément de béton du plancher. elle permet de supprimer le coffrage de ce plancher.
Action de coffrer et de couler une pièce de béton à un endroit différent (usine ou chantier) de sa place définitive.
Plaque mince en béton armé pour faciliter le coffrage du linteau. Suppression du fond de moule.
Le pré mur est un élément en béton armé préfabriqué comportant deux faces bétonnées reliées entre elles par un ferraillage et un emplacement vide entre ces deux faces qui devra être coulé sur le chantier.
Par temps chaud, grand vent ou courant d’air, la pulvérisation d’un produit de cure empêche l’évaporation trop rapide de l’eau du béton ou du mortier et limite les risques de fissuration et de faïençage.
Le puisard est un trou creusé dans le sol et rempli de pierres qui facilite l’infiltration de l’eau dans le sol.
Fondation semi profonde < à 8 mètres remplie de gros béton (faiblement dosé).
5. Puits : Profondeur > à 1,20 m < à 8,00 m
Nettoyage des éléments instables et indésirables dans le fond de fouille ou en terrassement.
Ce sont des pièces de la charpente passant sur l’arbalétrier et supportant les chevrons.
Mur en forme triangulaire soutenant les pannes et le faîtage d’une charpente.
1. Pièce verticale à l’aplomb de la ferme et assemblant les arbalétriers, les contrefiches et le faîtage.
2. Élément de terre cuite décoratif qui couronne la rencontre d’un faîtage et d’un arêtier ou deux arêtiers.
Déclivité d’un pan de toiture.
Partie visible de la tuile ou de l’ardoise, désigne aussi la distance du bord supérieur au bord inférieur des liteaux.
Q
Sable de quartz que l’on dispose en surface d’un béton de dallage avant le lissage afin de rendre sa surface plus résistante.
R
Réglementation thermique française qui a pour but de diminuer la consommation énergétique des bâtiments neufs pour le chauffage, la ventilation, la climatisation, la production d’eau chaude sanitaire et l’éclairage.
Le radier est une grosse dalle enterrée où repose le bâtiment.
Renfort du coffrage juste derrière la peau coffrante (3).
Renfort derrière les raidisseurs primaires servant au serrage du coffrage (4).
Action de démolir la partie supérieure du pieu composé de mauvais béton, ce manque sera remplacé par un massif appelé tête de pieu.
Longueur nécessaire pour prolonger les aciers.
Semelles appelées en redan quand elles suivent un terrain en pente avec différents niveaux horizontaux. Ce qui permet de garder les fondation hors gel.
Il appelle « tamisat » la partie des granulats qui est passée à travers le tamis et
« refus » la partie qui est restée sur le tamis.
Le terme « Granulat d/D » est réservé aux granulats dont les dimensions s’étalent de
d pour les petits éléments à D pour les gros éléments.
Éléments en béton qui permettent l’examen visuel, généralement à l’aide d’un appareil optique. Le regard de visite est aussi l’accès principal lors des travaux de maintenance ou de réhabilitation sans tranchée. Ils permettent aussi de changer de direction et peuvent recevoir plusieurs canalisations.
Le regingot est la partie la plus haute de l’appui, se trouvant à l’intérieur de la pièce. C’est sur lui que le dormant de la fenêtre reposera.
Ensemble des techniques et procédés traditionnels de construction dont le bien-fondé est admis par l’ensemble des professionnels.
La réhabilitation désigne au sens large le fait de réaménager un local, un bâtiment ou un lieu (quartier, friche, espace vert...). Elle consiste à garder l’aspect extérieur du bâtiment et à améliorer le confort intérieur.
Les relevés d’étanchéité servent à prévenir la pénétration de l’eau en périphérie des terrasses revêtues d’un complexe d’étanchéité, empêchant ainsi les infiltrations à l’intérieur des ouvrages.
Matériaux rapportés et compactés pour surélever une partie de terrain, combler une déclivité, épauler le pied d’un mur, ou constituer une terrasse derrière un mur de soutènement.
Travaux de réfection visant à renforcer ou à transformer les parties porteuses d’une construction (soubassement et fondation) comportant l’ouverture de fouilles limitées sous la fondation existante, sans interférence avec les structures portées. Les reprises en sous-oeuvre se font par approfondissement des fondations existantes (micropieux, puits, ...).
Le réseau d’alimentation d’une habitation inclut généralement le réseau électrique, l’eau, le gaz, le téléphone mais également les évacuations d’eau usées, vannes et pluviales. Ces réseaux sont la plupart du temps enterrés et soumis à des règles précises quant à la profondeur, l’espacement ou les matériaux de pose et de remblai.
C’est une petite ouverture dans un plancher ou dans un mur pour le passage de différents éléments du second oeuvre. Conduits divers, boisseaux etc.
Distance apparente mesurée, du dessous de la poutre jusqu’au dessous du plancher.
Déformation d’un béton à l’abaissement trop rapide de sa teneur en eau, se traduisant par une diminution de volume.
Partie d’une maison située au niveau du sol.
Largeur < à 2 m ht < à 1,00
C’est la pente du comble.
C’est un entrait remonté pour laisser plus de passage dans le comble.
Lignes délimitant les côtés inclinés des pans de toiture.
S
Le sable, est un matériau granulaire constitué de petites particules provenant de la désagrégation d’autres roches de diamètre 0,05 à 5 mm.
Ayant la même fonction que la cour anglaise, le SAUT DE LOUP est, lui plus réduit et clos par une petite maçonnerie munie d’une grille.
Tout ce qui ne concourt pas à la reprise des efforts subis permanents (les charges reçues par la construction et son poids propre) ou efforts temporaires (vent, séismes) : ce qui ne concourt pas à la solidité, à la stabilité du bâtiment.
Le second œuvre est fait par tous les corps de métiers intervenant (sauf exception) à la suite du gros œuvre, afin d’achever, d’aménager et d’équiper l’ouvrage.
Dimensions d’une poutre ou d’un poteau dans le sens transversal.
Séparation des éléments constituant le béton. Amas de graviers trop important souvent en pied de mur.
Elles sont dites, isolée quand elles sont placées uniquement sous les poteaux.
Fondation superficielle. Ouvrage d’infrastructure généralement en béton armé qui reprend les charges de la structure pour les transmettre sur le bon sol. Elles sont dites filantes quand celles-ci sont continues sous les murs.
Moyen de serrage utilisé en coffrage.
Le SEUIL est une finition de la partie inférieure d’une porte extérieure ou porte fenêtre.
La signalisation temporaire doit être adaptée aux circonstances qui l’imposent, afin d’assurer la sécurité des usagers et des agents, sans contraindre de manière excessive la circulation publique.
Couche de terrain dans laquelle doivent être ancrées les fondations.
1. Bande en mortier gras couvre-joint et calfeutrement de souche de cheminée, ou en longueur au pied d’un mur saillant du toiture servant d’étanchéité.
2. C’est le garnissage en mortier assurant l’étanchéité entre la couverture et un ouvrage de maçonnerie en pénétration.
Le sommier est une pierre qui sert à répartir des contraintes de compression dans la maçonnerie courante, elle est placée aux extrémités des arcs et de certaines voûtes.
La souche de cheminée également appelée sortie de toit est la partie extérieure du conduit de cheminée, visible sur le toit. Très importante pour l’efficacité du tirage.
Face tournée vers le bas d’une dalle, d’une poutre.
Toute pièce ou étage qui est en dessous du rez-de-chaussée d’une construction.
Tubes coulissant réglables reliant la banche au lest afin que le coffrage ne puisse pas basculer sous l’effet du vent ou autre.
Ensemble des éléments porteurs rigidifiant l’édifice.
Tout ce qui, dans une construction, est situé au-dessus du sol, des terrassements, d’une autre construction.
Le surfaçage du béton frais est destiné à fermer sa surface, c’est-à-dire à augmenter la compacité de la partie supérieure de l’ouvrage, qui est sensiblement horizontale. L’objectif recherché est aussi un fini de surface lisse et une bonne planéité.
Inclinaison de la face du mur, de l’élément horizontal, par rapport à la verticale mettant le haut du mur en avant de la base. (malfaçon)
Élément en PVC ou métallique placé en partie basse d’une forme de pente pour réceptionner les eaux d’écoulement et les évacuer dans le réseau d’eaux usées, empêchant également les remontées des odeurs.
Panne basse portant sur le mur.
Toute partie de bois dépassant le nu du mur comme les chevrons et les pannes en bas de pente.
T
Le TABLEAU est la face interne de l’ouverture dans un mur.
Amorce de béton ou en PVC permettant de maintenir le coffrage à la bonne position.
Pente de talus 1/1 minimum
Instrument doté de trous destiné à trier le grain ou des objets de différentes tailles.
Les granulats sont classés en fonction de leurs grosseurs déterminées par criblage sur
les tamis à mailles carrées dont la dimension intérieure est exprimée en millimètres.
Il appelle « tamisat » la partie des granulats qui est passée à travers le tamis et
« refus » la partie qui est restée sur le tamis.
Couvercle en béton ou plaque en fonte recouvrant le regard.
Camion malaxeur pour le transport du béton frais, équipé d’un tapis pouvant vider le béton jusqu’à 12 mètres environ.Pour aller plus loin il faut utiliser la pompe qui injecte le béton dans des tuyaux pour le vider en hauteur ou sur des distances plus importantes.
Outil de forage, de type vis sans fin, permettant de prélever des échantillons de sols ou creuser des pieux.
Jauge ou réglette à vernier, permettant de mesurer les variations d’écartement et d’inclinaison des lèvres des fissures. Petit plot de plâtre ou de mortier appliqué à cheval sur une fissure ou une lézarde, puis daté, afin de surveiller l’évolution de celle-ci.
Le terrain fini est celui qui existera après les travaux de réalisation du projet de construction.
Le terrain naturel est celui qui existe dans son état antérieur aux travaux entrepris pour la réalisation du projet de construction.
1- Concernant le terrain : plate forme obtenue par surélévation de celui-ci (levée de terres ou remblai).
2- Terrasse périphérique : espace cimenté, dallé ou pavé, de plain pied contiguë à la maison.
Les travaux de terrassement sont effectués après l’implantation suivant des indications précises portées sur les plans. Ils consistent à faire, à l’aide d’engins spécifiques : du "déblai" pour creuser dans le sol et dégager les terres (exemple : creuser une fouille)
du "remblai" pour prélever des terres et combler les cavités (exemple : remblayer au-dessus d’une canalisation).
Surface terrassée se trouvant sous la forme du dallage.
Moyen de serrage utilisé en coffrage.
Étai réglable servant aussi bien à pousser qu’à tirer maintenant les aplombs des coffrages ou des prémurs.
Tolérances Elles précisent les valeurs acceptables, des écarts sur la planéité, ainsi que l’état de surface des ouvrages finis. Mais également sur les aplombs, l’implantation etc.
Mortier de mur composé de terre, paille ou foin, éventuellement chaux, en remplissage en général d’ossature bois.
Camion malaxeur pour le transport du béton frais.
Tour d’étaiement formé de 4 étais reliés par des échelles qui assurent les fonctions de
contreventement.
Un égout est une canalisation ou un conduit collectif destiné à collecter et à évacuer les différentes eaux vers les stations d’épuration.
Le béton résiste très mal aux efforts d’extension exercés sur lui.
Trait d’emprunt se trouvant à 1,00 m au dessus du sol fini (parquet, carrelage ou moquette posé).
Largeur < à 2 m ht > 1,00 m ou larg > à 2 m ht > larg/2 (3)
Armatures métalliques constitués de fils porteurs et de répartition, à haute adhérence formant ainsi des mailles, carrées ou rectangulaires.
Ouverture dans la dalle permettant l’accès à ce plancher par l’intermédiaire d’un escalier ou d’un ascenseur.
Élément que l’on place à la base d’un étai pour le maintenir en position verticale en toute sécurité.
Potelet à 3 pieds que l’on pose sur les prédalles pour fixer les garde-corps.
Partie d’un mur, compris entre deux ouvertures ou baies > à 60 cm.
Espace ménagé dans une toiture pour le passage d’une cheminée ou une baie.
U
Acier plié en forme de U servant à la liaison de deux ou plusieurs armatures.
V
Partie coulissante d’un serre joint.
Action qui permet de supprimer le maximum d’air dans le béton afin de le rendre plus compact.
Espace accessible ou non de quelques dizaines de cm, situé entre le sol et le premier plancher de la construction et servant d’isolation entre celui-ci et le sol. Les remontées d’humidité depuis la terre sont éliminées par la ventilation naturel du vide obtenu avec les bouches d’aération. Il permet de pouvoir intervenir sur les canalisations en cas de problème. Son accès se fait par une petite ouverture appelé "TROU D’HOMME" Ouverture minimum se situant dans les murs d’un vide sanitaire ou dans un comble permettant ainsi le passage d’un homme.
Épaisseur de coupe crée par la lame de scie ?
Donner de la voie à une lame = action d’écarter les dents de la scie pour favoriser la coupe.
Mur en béton armé appelé également mur banché.
Ensemble des marches d’un escalier, compris entre deux paliers consécutifs
Toutes pierres taillées en forme de coin, servant à construire une un arc ou une voûte.
Maçonnerie réalisée en arc de cercle.
Planches de bois fixées côtés à côtes pour faire un plancher afin de supporter les matériaux de couverture.
Z
C’est la référence altimétrique d’une construction. C’est en principe le niveau du sol fini du RDC.
Zonage
Le nouveau zonage sismique (qui modifie les articles 563-1 à 8 du Code de l’Environnement) est entré en vigueur à compter du 1er mai 2011. Jusqu’à cette date, le zonage en vigueur demeurait le zonage divisant la France zones de sismicité 0, Ia, Ib, II et III tel qu’illustré ci-dessous.
Depuis le 22 octobre 2010, la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante en fonction de la probabilité d’occurrence des séismes (articles R563-1 à R563-8 du Code de l’Environnement modifiés par les décrets no 2010-1254 du 22 octobre 2010 et no 2010-1255 du 22 octobre 2010, ainsi que par l’Arrêté du 22 octobre 2010) :
- une zone de sismicité 1 où il n’y a pas de prescription parasismique particulière pour les bâtiments à risque normal (l’aléa sismique associé à cette zone est qualifié de très faible),
- quatre zones de sismicité 2 à 5, où les règles de construction parasismique sont applicables aux nouveaux bâtiments, et aux bâtiments anciens dans des conditions particulières.
[...]
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